17 octobre 2011
1
17
/10
/octobre
/2011
10:30
Extrait tiré du net ...
Tous les types de fachos partagent le point commun d’avoir une peur panique de la différence et un attachement sans borne pour leur territoire.
Ainsi, et tel l’éléphant qui craint la souris, et plutôt qu’uriner dans leur treillis à la vue d’un homme n’ayant pas la même couleur
qu’eux, ils cherchent à nier cette phobie en se camouflant derrière un mur d’intolérance, et parfois une mèche de cheveux que les émos leur envieraient –mis à part le fait que chez le facho celle
ci est rabattue sur le côté du crâne suivant le plus pur style 1933. A l’inverse, certains individus souffrent de calvitie (mutation génétique acquise en conséquence de leur haine des hippie) et
n'ont d'autres buts dans la vie que « casser de l’arabe » (ce « cassage » n’ayant pas le même principe que celui de Braïce de Naïce).
Ainsi, personne ne remarquera leur angoisse latente derrière cette profusion de violence virile et de jeu de «
qui-c’est-qu’a-la-plus-grosse » ; on parle ici de battes de baseball, leurs phallus leurs sont presque inutiles depuis qu’ils se sont rendu compte que la « pureté ethnique » de trop peu de femmes
sur terre pouvait être prouvée en vue d’ébats sexuels « surs » (ce qui pour un facho signifie « sans risque de métissage »).
On s’attend à une vague de suicides quand ils réaliseront que la notion de « pureté ethnique » n’est que le résultat d’une lobotomie par
propagande.
Toujours rapport aux femmes, dans sa peur de la différence, le facho se révèle aussi macho, tentant ainsi d’essayer de vaincre sa peur de
ces êtres qui « peuvent saigner 5 jours sans mourir » réf. Mr. Garrisson.
Les fachos souffrent aussi d'une maladie appelée communément "maladie de Nuremberg" qui provoque des raidissements subits du bras
droit.